Un trop du son daim jeu ne fais qu'à.

Contrée d'Amakna, au début du mois de Fraouctor.

-Vous, par là-bas, restez par deux, c'est un héros de la cité ennemie je vous rappelle !

-Bien commandant, il ne nous échappera pas !

L'homme aux ailes cotonneuses pénétra dans la demeure qui lui faisait face.

-Autorité de Bonta, déclinez votre identité !

-Autorité ? Ahahahahaha...

Le feca leva ses bras en l'air, dessinant un cercle, un motif blanc apparu à trois reprises sur le sol, précisemment sous les pieds du dernier arrivant.

-Comment... Impossible...

-Par Djaul et Rushu, l'autorité dans ce monde, c'est nous !

A peine eu-t-il terminé sa phrase que sa victime, immobile et désemparée, s'écroula au sol, ses dernières ressources l'ayant quitté.

Son forfait accompli, le feca observa la salle dans laquelle il s'était écarté de ses poursuivants, et vit un grimoire, le feuilleta, et, prenant la plume qui se trouvait dans l'encrier, inscrivit ces mots :

Ici se réfugia le feca Jisatsu de cercle de puissance 176, qui détrôna avec la plus grande vaillance un héros de Bonta, à la seule puissance des glyphes prêtés par son Dieu.

Puis, voyant qu'il ne s'agissait pas vraiment d'un registre de guerre, mais d'une œuvre communautaire, et ayant lu les autres récits déposés par d'autres aventuriers avant lui, il continua :

Un journal dans nos contrées ? Certainement une idée de Brakmarien ! Et bien que vais-je pouvoir indiquer ?

Il lâcha ces précieux mots :

Votre projet me semble louable. Vous avez mon entière collaboration, mais n'essayez pas de me tendre un piège, auquel cas je vous réserverai le même sort que celui de celui qui gît dans votre demeure. Croyez-en ma motivation, ma bonne sincérité et ma présence, mais sachez que ma détermination est aussi votre faiblesse...

-Commandant ? retentit soudain une voix, non loin de la porte.

"La collaboration ou la guerre.", inscrit le feca, plaçant une main au niveau de son front, se téléportant aussitôt en dehors de la bâtisse.